11 ans de pratiques biodynamiques au Domaine Piccard
Depuis plus de vingt ans, les insecticides, les engrais minéraux et les herbicides ne sont plus répandus sur les terres du Domaine Piccard.
C’est un changement substantiel dans la manière d’envisager notre métier, notre terre, notre vie. Une approche holistique qui répond aux défis actuels de l’Agriculture… Avec un grand « A » pour la différencier du courant conventionnel, industriel, qui avili les sols, les champs, la biodiversité. La santé et le bien-être de chacun d’entre-nous en paie chaque jour les conséquences.
Depuis 2014 ; la biodynamie est venue s’ajouter à nos pratiques, pour le plus grand bonheur de nos sols, nos vignes et tous ses habitants. La taille de notre Domaine et sa disposition en font un excellent candidat pour ces pratiques agricoles qui redonnent vie et énergie, à ceux qui la pratiquent, comme à ceux qui la reçoivent !
En cet an de grâce 2025 ; après 11 ans de cette dynamique de la Vie, nos vignes s’en portent tellement mieux ! Mais, Il n’y a pas de miracle…Il s’agit de prendre soins et travailler pour une guérison complète. Une guérison nécessaire, pour l’avenir de tous les organismes vivant sur notre belle Terre.
Cette dynamique de vie impose son rythme, un rythme ? Une multitude de rythme, plutôt. Toue est musique dans cette belle Nature, la partition est complexe et s’écrit au fur et à mesure des jours, mois, saisons, années… Un concert où chaque note participe à l’harmonie générale. En hivers, les plantes dorment mais le sol, lui, est en pleine transe… la venue de nos moutons dans les vignes lui donne une impulsion sans égal. Ainsi l’action de ces ruminants permet de renouveler dans les meilleurs condition la fertilité de nos parchets.
Au printemps, les plantes renaissent mais la vigne est à peine réveillée Les moutons n’y sont plus, ils ne feraient qu’une bouchée de nos jolis « Bôlons » (bourgeons). C’est le moment ou la couverture herbeuse a les coudées franches… En avril on récolte les fleurs de Pissenlits à leur première ouverture, de vrais petits soleils, qui une fois séchés, seront utilisés plus tard dans la saison pour une des 6 préparation du compost. Entre temps nos parchets deviennent une prairie sauvage. A pleine maturité celle-ci est fauchée marquant l’accomplissement d’un rythme important pour la terre ; avant que celle-ci ne s’endorme pour la saison viticole. A ce moment vient la première Bouse de Corne, comme un onguent, un message céleste, qui va donner la bonne mesure de la diversité bactériologique à nos sols et proposer au végétal de s’y enfoncer encore plus. Il fait déjà chaud en Mai, la vigne en profit elle a le champ est libre. Jusqu’à la récolte elle règne en maître sur trous nos travaux. Lors de traitement de couverture ; ou les souffres et le cuivres permettent de tenir le rythme, en protégeant le feuillage sensible aux maladies cryptogamiques ; la musique vient des infusions, tisanes et autres décoctions issue de saule, d’orties et de prêles. A noter que tous ces ingrédients se trouvent directement dans les vignes ou leurs abords.
En été,notre terre respire et vivre par l’action végétale ; sa structure complexe permet aux racines de s’enfoncer plus profond, d’aller puiser dans le sous-sol, tout en y amenant force de Vie. L’eau, dont on connaît maintenant la valeur inestimable est le media incontournable de cette Vie. Nos sols la captent et la stockent chaque année un peu mieux, un peu plus en profondeur. Un atout au vu des défis climatique qui nous impactent.
La structure, c’est ce qui donne forme à la vie. Donner des forces de structuration au vivant, à la vigne et à sa récolte est une nécessité également. C’est la moins connue Silice de Corne, une impulsion très matinale, à appliquer au-dessus des vignes, comme une couverture, avant les premiers rayons direct de soleil. Ces quelques grammes de quartz alpin finement broyé et mélanger à de l’eau de bonne facture à un effet bandant, excuser du terme, sur le pampre de la vigne et participent à l’élaboration des molécules complexes, acides, arômes, sucres, inhérent à la Qualité de la récolte, entre autres. Deux applications par saisons, un mois avant la fleur et un mois avant la récolte !
Les dernières fauches signalent le début de la véraison ; les raisins mûrissent et la prairie refait son apparition. L’entente est bonne ; la terre retrouve une certaine activité. Dès les raisins cueillis, on la prépare à sa période de haute activité ; en passant une Bouse de Corne. Le sol humide est encore chaud ; le message « biodiversité bactériologique » n’en sera que mieux entendu. La prochaine fauche sera le fait de « Fleur » et de sa descendance. Une belle brebis « Noir des alpes » dont les courtisans aux différentes origines ont contribué à la variété du troupeau. Qui chaque année nourrit un certain nombre de famille avec le fameux « agneau de Lavaux »
Depuis 2014 ; la biodynamie est venue s’ajouter à nos pratiques, pour le plus grand bonheur de nos sols, nos vignes et tous ses habitants. La taille de notre Domaine et sa disposition en font un excellent candidat pour ces pratiques agricoles qui redonnent vie et énergie, à ceux qui la pratiquent, comme à ceux qui la reçoivent !
En cet an de grâce 2025 ; après 11 ans de cette dynamique de la Vie, nos vignes s’en portent tellement mieux ! Mais, Il n’y a pas de miracle…Il s’agit de prendre soins et travailler pour une guérison complète. Une guérison nécessaire, pour l’avenir de tous les organismes vivant sur notre belle Terre.
Cette dynamique de vie impose son rythme, un rythme ? Une multitude de rythme, plutôt. Toue est musique dans cette belle Nature, la partition est complexe et s’écrit au fur et à mesure des jours, mois, saisons, années… Un concert où chaque note participe à l’harmonie générale. En hivers, les plantes dorment mais le sol, lui, est en pleine transe… la venue de nos moutons dans les vignes lui donne une impulsion sans égal. Ainsi l’action de ces ruminants permet de renouveler dans les meilleurs condition la fertilité de nos parchets.
Au printemps, les plantes renaissent mais la vigne est à peine réveillée Les moutons n’y sont plus, ils ne feraient qu’une bouchée de nos jolis « Bôlons » (bourgeons). C’est le moment ou la couverture herbeuse a les coudées franches… En avril on récolte les fleurs de Pissenlits à leur première ouverture, de vrais petits soleils, qui une fois séchés, seront utilisés plus tard dans la saison pour une des 6 préparation du compost. Entre temps nos parchets deviennent une prairie sauvage. A pleine maturité celle-ci est fauchée marquant l’accomplissement d’un rythme important pour la terre ; avant que celle-ci ne s’endorme pour la saison viticole. A ce moment vient la première Bouse de Corne, comme un onguent, un message céleste, qui va donner la bonne mesure de la diversité bactériologique à nos sols et proposer au végétal de s’y enfoncer encore plus. Il fait déjà chaud en Mai, la vigne en profit elle a le champ est libre. Jusqu’à la récolte elle règne en maître sur trous nos travaux. Lors de traitement de couverture ; ou les souffres et le cuivres permettent de tenir le rythme, en protégeant le feuillage sensible aux maladies cryptogamiques ; la musique vient des infusions, tisanes et autres décoctions issue de saule, d’orties et de prêles. A noter que tous ces ingrédients se trouvent directement dans les vignes ou leurs abords.
En été,notre terre respire et vivre par l’action végétale ; sa structure complexe permet aux racines de s’enfoncer plus profond, d’aller puiser dans le sous-sol, tout en y amenant force de Vie. L’eau, dont on connaît maintenant la valeur inestimable est le media incontournable de cette Vie. Nos sols la captent et la stockent chaque année un peu mieux, un peu plus en profondeur. Un atout au vu des défis climatique qui nous impactent.
La structure, c’est ce qui donne forme à la vie. Donner des forces de structuration au vivant, à la vigne et à sa récolte est une nécessité également. C’est la moins connue Silice de Corne, une impulsion très matinale, à appliquer au-dessus des vignes, comme une couverture, avant les premiers rayons direct de soleil. Ces quelques grammes de quartz alpin finement broyé et mélanger à de l’eau de bonne facture à un effet bandant, excuser du terme, sur le pampre de la vigne et participent à l’élaboration des molécules complexes, acides, arômes, sucres, inhérent à la Qualité de la récolte, entre autres. Deux applications par saisons, un mois avant la fleur et un mois avant la récolte !
Les dernières fauches signalent le début de la véraison ; les raisins mûrissent et la prairie refait son apparition. L’entente est bonne ; la terre retrouve une certaine activité. Dès les raisins cueillis, on la prépare à sa période de haute activité ; en passant une Bouse de Corne. Le sol humide est encore chaud ; le message « biodiversité bactériologique » n’en sera que mieux entendu. La prochaine fauche sera le fait de « Fleur » et de sa descendance. Une belle brebis « Noir des alpes » dont les courtisans aux différentes origines ont contribué à la variété du troupeau. Qui chaque année nourrit un certain nombre de famille avec le fameux « agneau de Lavaux »